L’irrationalité des marchés n’est qu’apparente: les titres cycliques et à faible valorisation ont tendance à s’imposer dans la première phase d’une reprise économique, tandis que les titres qualité croissance (défensifs) prennent la tête dans les phases ultérieures et en récession
Lorsque nous observons le comportement des marchés, nous nous demandons souvent si tout cela est rationnel. En 2020, le monde a connu l’une des pires crises de son histoire et le marché actions a terminé l’année sur des sommets historiques. Nous avons beaucoup entendu parler de découplage entre les marchés et les fondamentaux pour justifier cette divergence entre la situation économique sous-jacente et les cours des actions. Mais si nous regardons de plus près, tout n’est pas irrationnel, bien au contraire.